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Développement durable

Ce que les investisseurs doivent retenir de la COP 27

  • 30 novembre 2022 (7 minutes)

  • La COP27 a donné lieu à des débats essentiels sur la mise en œuvre des engagements pris lors de la conférence de l'année dernière, organisée à Glasgow
  • Ces deux semaines de discussions sur le climat ont couvert un large éventail de sujets, en ciblant le financement de la lutte contre le changement climatique dans les pays en développement
  • Si l'accord final ne comporte malheureusement aucune mesure concrète, il ouvre la voie à des initiatives ambitieuses, qui envisagent un rôle crucial pour les investisseurs privés.

Nous pensions que ce sommet sur le climat qu’est la COP27 rencontrerait de nombreux obstacles, et notre pressentiment a malheureusement été confirmé. Plus de 100 dirigeants du monde entier se sont rendus à Charm El-Cheikh (Égypte) dans l'espoir de progresser par rapport aux engagements pris lors de la conférence de l'année dernière, mais ils se sont retrouvés, pour reprendre les mots du secrétaire général des Nations unies, António Guterres, avec « beaucoup de devoirs à faire en peu de temps ». Collectivement, nous sommes désormais confrontés à des choix difficiles – notamment en matière de transferts financiers et de réduction réelle du recours aux combustibles fossiles –, dont les conséquences économiques, sociales, comportementales et politiques sont considérables. Dans ce contexte, il n’est guère étonnant que beaucoup refusent l’obstacle.

Le nouvel accord sur le climat prévoit la création d'un fonds « pertes et dommages », destiné à aider les pays vulnérables à faire face aux effets dévastateurs du changement climatique. Cependant, de nombreux points d’achoppement ont entravé les négociations et sont restés en suspens, malgré près de 40 « heures supplémentaires ».1

Il est vrai que les participants à la conférence devaient relever le défi du changement climatique dans un environnement international très défavorable, marqué par la guerre en Ukraine, une crise énergétique, une nouvelle ère de resserrement monétaire agressif et une inflation record.

Les débats sur l'adaptation au changement climatique et le fonds « pertes et dommages » ont occupé le devant de la scène, mais la conférence a également été consacrée à des enjeux tels que l'atténuation de la perte de biodiversité au niveau mondial. Cela a abouti à un pacte sur la déforestation conclu par les principales nations abritant des forêts tropicales, ainsi qu'à un partenariat visant à financer des solutions fondées sur la nature.2 Les investisseurs devront désormais surveiller les résultats de la conférence des Nations unies sur la biodiversité, qui se tiendra début décembre.

La « Journée de l'égalité des sexes » a été l’occasion de réaffirmer l'engagement à réaliser une transition juste, en aidant les femmes à accéder aux emplois verts et en élaborant des politiques climatiques tenant compte de la dimension de genre.

Objectivement, les engagements de la COP27 sont loin d’égaler ceux pris l'année dernière en Écosse, alors même que le Pacte de Glasgow s’était avéré décevant, notamment par rapport aux grands espoirs liés à son calendrier – à mi-chemin entre l'Accord de Paris et 2030, l'année cible officielle pour les Contributions déterminées au niveau national (CDN) à la réduction des émissions.

Plusieurs aspects de l’accord formalisé cette année doivent cependant être pris en compte par les investisseurs responsables, car ils sont susceptibles de conduire à une action climatique tangible et auront des implications pour les portefeuilles à plus long terme.

Financer la lutte contre le changement climatique

Dès le premier jour, les débats se sont concentrés sur le financement de l’atténuation du changement climatique dans les marchés émergents. Selon un rapport incluant la contribution de l'économiste spécialiste du climat Nicholas Stern, le coût annuel des aides des pays développés pour réduire les émissions et faire face à l’impact du changement climatique dans les pays en développement atteindrait 1 000 mds USD d'ici 2030.3

Heureusement, des progrès ont été réalisés. Beaucoup reste à faire pour préciser les responsabilités et les mécanismes de financement, mais le fonds « pertes et dommages » constitue une étape historique et jouera un rôle essentiel. Tout aussi importantes seront les discussions visant à fixer un financement annuel pour remplacer l'objectif de 100 mds GBP par an d'ici 2020, qui n'a pas été atteint par les pays développés. Aucun nouvel objectif n'a été fixé en Égypte, mais le processus de négociation est en cours.

Les investisseurs ont eu un aperçu des solutions qui leur permettraient de répondre à ces besoins. Afin de faciliter l’accès aux financements, une liste d'initiatives climatiques représentant un montant total de 120 mds USD a été publiée.4 À mesure que les ambitions en matière de climat progressent, la pression incitant les capitaux privés à participer aux efforts de financement devrait s’intensifier.

Les banques multilatérales de développement et les institutions financières internationales, sous pression pour contribuer davantage à l'action climatique, pourraient ainsi se tourner vers des solutions de financement faisant appel aux investisseurs privés pour réduire le coût du capital.5 Lors de la COP27, des initiatives ont été prises en ce sens, visant notamment à fournir aux investisseurs des cadres destinés à limiter les risques perçus.6 Parallèlement, un programme de 15 mds USD destiné à soutenir des projets d'atténuation et d'adaptation en Égypte a l’ambition de créer une solution évolutive de financement vert, qui pourrait servir de modèle pour attirer les investissements du secteur privé.7

Combustibles fossiles, « énergie à faibles émissions » et énergies renouvelables

Si la proposition visant l'abandon progressif de tous les combustibles fossiles n'a pas été retenue dans l'accord final, elle pourrait être remise sur la table lors de la conférence de l'année prochaine à Dubaï. Chaque progrès (ou absence de progrès) de la COP doit être évalué à l’aune des obstacles qu’il permet de lever.

À cet égard, nous avons constaté des avancées dans les engagements pris l'année dernière par plus de 40 pays pour renoncer à utiliser le charbon comme source d'énergie. Les États-Unis et le Japon ont notamment annoncé un financement de 20 mds USD pour accélérer la transition du charbon vers les énergies renouvelables en Indonésie, de manière à avancer le pic des émissions du pays à 2030, au lieu de 2037.8 Des programmes similaires de 8,5 mds USD et 11 mds USD ont respectivement été annoncés pour l'Afrique du Sud et le Vietnam, qui serviront de modèles à d'autres pays en développement tributaires du charbon.9

Nous avons identifié cette tendance de longue date et AXA IM s’est engagé à se défaire de tous les investissements dans l’industrie du charbon dans les pays qui font partie de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) d’ici la fin de cette décennie, et dans le reste du monde d’ici 2040.

Par ailleurs, certaines nations africaines ont exercé de fortes pressions pour autoriser le développement des réserves de gaz en tant que combustible de transition (le gaz, lorsqu'il est brûlé, produit beaucoup moins d'émissions que le charbon, par exemple). C’est pourquoi l'« énergie à faibles émissions » figure dans l'accord final aux côtés des énergies renouvelables comme source d'énergie d'avenir. Alors que le recours au gaz permettrait dans de nombreux pays, principalement en Afrique, de réduire la coupe de bois et la perte de biodiversité, les investisseurs responsables devront peut-être veiller à ce qu'une telle faille potentielle ne soit pas exploitée.

Dans le même ordre d'idées, mais sur une note positive, plus de 150 pays ont maintenant rejoint l'Engagement mondial concernant le méthane, lancé à l'origine lors de la COP26 dans le but de réduire les émissions de méthane de 30 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2020.10 Le méthane (du gaz naturel sous sa forme non brûlée) est l'un des plus puissants gaz à effet de serre et 95 % des pays l’ont désormais inclus dans leurs plans de réduction des émissions.11

L'hydrogène vert, créé par électrolyse à l'aide d'énergies renouvelables, fait également l’objet de toutes les attentions et constitue désormais un thème d'investissement potentiellement intéressant. L'Égypte et la Norvège envisagent la construction d'une centrale à hydrogène vert d'une capacité de 100 MW à Ain Sokhna, en Égypte[12], tandis que cette technologie a été identifiée comme une voie privilégiée pour décarboner le secteur des transports maritimes d'ici 2050.13

Compensation et crédits carbone

La création d'un marché du carbone et la circulation des crédits carbone sont depuis longtemps jugées utiles pour les entreprises confrontées à une trajectoire de transition compliquée – et constituent un thème intéressant pour les investisseurs. Les vérifications et la fiabilité du mécanisme suscitent toutefois des inquiétudes.

Cette année, un cadre de fonctionnement des marchés du carbone a été mis en place afin de tenir compte des enseignements tirés depuis la COP26. Les nouvelles mesures ont pour objectif d’améliorer la qualité et l'intégrité des marchés du carbone, afin que les pays en développement investissent davantage dans la transition vers des énergies propres. Les régulateurs des marchés financiers ont également formulé des recommandations visant à améliorer la transparence et la réglementation des marchés volontaires du carbone.14

L'un des engagements les plus importants pris par les États-Unis lors de la COP27 est un système de compensation des émissions de carbone appelé « Energy Transition Accelerator », qui pourrait permettre d'injecter des milliards de dollars du secteur privé dans les pays en développement qui s'efforcent de passer à des sources d'énergie renouvelables telles que l'éolien ou le solaire.15 Un autre projet – l’Africa Carbon Market Initiative (ACMI) – vise à créer un marché volontaire du carbone actif sur tout le continent, produisant chaque année 300 millions de crédits carbone de haute intégrité d'ici 2030.16

Dans le cadre de cet effort, il est essentiel de respecter la hiérarchie suivante : réduire en premier lieu, puis éviter les émissions, et les compenser en dernier recours. Un marché des crédits carbone bien conçu et fiable fait partie de la boîte à outils de la transition énergétique, mais ne doit en aucun cas être une excuse pour ne pas réduire les émissions.

Réglementation, données et normes

Les investissements sensibles aux enjeux climatiques, et plus généralement les investissements intégrant des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) reposent sur des données de haute qualité et reproductibles, afin que les gérants actifs et responsables puissent construire des portefeuilles qui reflètent les priorités de leurs clients en matière de durabilité. Il n'est donc guère surprenant que les notions de transparence et de responsabilité aient été au centre des débats lors de la COP27, chacun convenant qu'une réglementation, des données et des normes plus robustes contribueraient à garantir une action climatique efficace.

L'écoblanchiment – le fait que les discours ne soient pas suivis d’effet – est dans le viseur, de nombreux rapports montrant que la plupart des pays et entreprises ayant pris des engagements en faveur du climat n’étaient pas à même de les mesurer ou de les mettre en œuvre.17 Un rapport préparé par un groupe d'experts de haut niveau des Nations unies a tenté de remédier à cette situation en élaborant un guide de crédibilité pour les engagements « zéro émission nette », décrivant les normes requises pour réaliser des réductions d'émissions mesurables.18

Entre-temps, l'ancien vice-président américain Al Gore a lancé Climate TRACE, une base de données mondiale sur les émissions qui fournira des informations sur plus de 70 000 sites d'émissions, notamment des entreprises en Chine, aux États-Unis et en Inde.19

C'est précisément ce type d'informations qui peut donner aux investisseurs responsables des indications potentiellement cruciales sur les risques climatiques. Si nous sommes déjà en mesure d'évaluer ces risques et de nous y adapter au sein des portefeuilles, de telles initiatives améliorent la disponibilité des indicateurs climatiques et aident les investisseurs à orienter les financements vers des projets ayant un impact tout en offrant des rendements potentiels à long terme.

Du pain sur la planche

L'accord final est décevant à bien des égards et l'objectif de 2015 – limiter la hausse des températures à 1,5 ˚C au-dessus des niveaux de l'ère préindustrielle – semble s’éloigner.20 Malgré les ambitions affichées, le texte de la COP27 est étonnamment pauvre en plans d'action tangibles et semble renvoyer la mise en œuvre concrète à la conférence de l'année prochaine. Même le fonds « pertes et dommages » a suscité plus de questions que de réponses.

Dans ce contexte, il conviendra de surveiller l'évolution des efforts d'atténuation. Le « Programme de travail sur l'atténuation », qui a retardé les négociations mais a été « adopté » dans l'accord final de la COP27, appelle les pays à déployer des objectifs, des plans et des indicateurs clairs pour tenir leurs engagements en matière de climat. Il s'agit d'un pas supplémentaire vers la réduction des émissions, mais tout dépendra de la manière dont ce programme sera effectivement mis en œuvre.

Nous devons en outre mentionner les progrès accomplis en dehors de la COP27. Alors que les États-Unis sont en retrait en matière d'engagements climatiques cette année, la Loi sur la réduction de l'inflation (IRA) votée en août a annoncé un changement radical dans l'économie de la décarbonation industrielle. En s’appuyant sur la politique gouvernementale et les opportunités économiques, cette loi incite le secteur privé à décarboner les secteurs les plus concernés, avec quelque 500 mds USD de nouvelles dépenses et d'allégements fiscaux destinés à soutenir les investissements dans les énergies propres, à réduire les coûts de santé et à augmenter les recettes fiscales.21 L'Union européenne (UE) et ses États membres devraient envisager une logique similaire pour soutenir les ambitions exprimées dans les plans « Fit for 55 »22 et « REPowerEU ».23

Cette loi et la COP27 placent clairement les investisseurs au cœur de tout plan viable pour financer la transition vers une ère plus durable. La trajectoire vers l’objectif « zéro émission nette » reste inchangée – même si cette dernière réunion n'a pas aplani les difficultés autant qu’on aurait pu l’espérer –, et tant le soutien politique que les dynamiques de consommation devraient continuer à encourager les investissements potentiellement rentables dans les projets en faveur du climat à travers le monde.

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